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Marianne-Madelon
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18 octobre 2015

Dans la lecture de l'histoire

En revoyant l'histoire et un homme honni par notre société " bien pensante" de philosophes de salons et de petits-écrans, je ne peux résister à faire la comparaison entre ses écrits et les actions lamentables de ceux qui nous gouvernent.

 Cet homme est Robespierre.

 Il déclare, en décembre 1792, devant la Convention Nationale:" la première loi sociale est celle qui garantit à tous les membres de la société les moyens d'exister...Toute spéculation mercantile que je fais aux dépens de la vie de mon semblable est un brigandage, un fratricide." Valls ferait bien de s'en inspirer au lieu d'aller soutenir les patrons d'Air-France face aux travailleurs en grève. Mais ce soi-disant socialiste a oublié ses premières convictions politiques dans les oubliettes de l'hôtel Matignon ou il n'en a jamais eu.

 Je continue, Robespierre en janvier 1792 au club des Jacobins déclare :" La plus extravagante idée qui puisse naître dans la tête d'un politique, est de croire qu'il suffise à un peuple d'entrer à Main Armée chez un peuple étranger , pour lui faire adopter ses lois et sa constitution." Il s'opposait dans ce débat à JP Brissot. Cette phrase devrait résonner dans la tête de notre matamore-président, satisfait de ses actes . Mais est-il seulement un politique? Ou le poisson-pilote de la coalition transatlantique USA, Royaume-Uni, Allemagne ? Il semble être le pantin-articulé dont on tire la ficelle pour le faire fonctionner, de l'oligarchie qui gouverne l'Occident.

  Un autre pantin, celui-là états-unien , a fait larguer, à la fin du printemps, 50 tonnes de matériel militaire en Syrie; à qui? A EL -Daesh bien sûr ! ( cela a été divulgué par un des membres de " Chatam House" qui est un organisme indépendant, un Think thank ,de la Royal Institute of International Affairs à Londres.) 

  Comme quoi ces pantins sont bien rodés au mensonge, à la falsification. Ils sont tout simplement au service de la classe dominante qui se nomme capital, et qui se moque comme d'une guigne de la souveraineté populaire.

 

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